Qu'est-ce que Radio Progrès
Il s’agit entre autres de développer l’ensemble des valeurs progressistes de jour en jour. Dans un monde où l’extrême-droite et ses idées augmentent de jour en jour au travers d’une scène médiatique, nous avons pensé nécessaire de créer une riposte culturelle où chacun pourrait soutenir une pensée progressiste à rebours des pires thèses qui parsèment l’Europe.
Choquée par la tournure des élections présidentielles au travers de trois courants d’extrême-droite à savoir « Les Républicains » (comme leurs homologues américains), le « Rassemblement National » et « Reconquête ! ». Voyant également que nous sommes arrivés progressivement dans une face de « rupture » républicaine où finalement les extrême-droites se positionnent comme soutenir un débat politique, il fallait réagir rapidement afin d’aller dans un contexte où le pouvoir pouvait retomber dans les mains comme ce fut le cas en 1940. Voyant la réalité d’une France comme c’est le cas dans d’autres pays : la marche en avant rappelle également que nous vivons sous une menace constante d’un coup d’état de l’armée et de la police. Ces derniers souhaitent en terminer avec la séparation des pouvoirs, la démocratie libérale et finalement la République.
Nous croyons foncièrement dans la République. Être républicain en 2022 s’avère reposé sur un véritable parcours du combattant puisque lesdits « républicains » ne sont pas toujours ceux qui se revendiquent comme tel. Dès lors, cela nous interroge dans le fond à savoir l’idée même que nous nous en faisons de la République. Il y a à partir de ce moment précis, une volonté de créer un véritable schisme entre ceux qui se revendiquent, mais qu’ils ne le sont pas et ceux qui ne revendiquent rien, mais qui sont républicains. De ce fait, cela n’est pas le cas de ceux qui se disent « républicains » en période électorale et se retrouve objectivement à soutenir des thèses antirépublicaines durant l’ensemble des mandats. Dans ce sens, nous soutenons qu’aucune négociation ne sera faite avec les néoconservateurs, les néolaïcs et toute autres idées clairement réactionnaires. En effet, les enrobages de certaines personnalités avides d’ailleurs de cyberharcèlement en disent long sur les opposants à leurs idées. La République et le progrès ne reposent à aucun moment sur le rejet de l’autre, car la « fraternité » est une valeur constitutionnelle.
Le gouvernement a voulu renforcer les lois sur le volet migratoire afin de capter l’électorat de l’extrême-droite. De ce fait, l’idée d’un « barrage républicain » ne servait strictement à rien. La politique des idées de l’extrême-droite se mettait en avant progressivement. Certains ont été horrifiés d’un tel acharnement, des théories diverses et variées promouvant le complotisme au sein des gouvernements successifs. Nous avons alors admis que la France n’était pas une terre de haine, mais une terre républicaine. À partir de ce moment précis, le barrage républicain a permis de recycler l’eau de l’extrême-droite pour promouvoir toujours plus ce courant hostile à la démocratie, la République et les travailleurs.
Considérant qu’au travers de ces éléments et au vu de l’état de la démocratie des pays membres en Europe sous couvert de populisme et de souverainisme national, l’idée s’inscrit nécessairement dans un autre paradigme. Nous sommes en faveur d’un changement radical de paradigme. Dans ce sens, nous avons compris également que la bataille s’inscrivait dans une démarche profondément « gramsciste ». La culture apparaît comme la « mère des batailles ». Il fallait créer un espace « safe » pour de nombreuses personnes afin qu’elles puissent s’y retrouver sans être pris dans le terrain des discriminations constantes et de toute nature. Cet espace s’avère être Radio Progrès.
Choquée par la tournure des élections présidentielles au travers de trois courants d’extrême-droite à savoir « Les Républicains » (comme leurs homologues américains), le « Rassemblement National » et « Reconquête ! ». Voyant également que nous sommes arrivés progressivement dans une face de « rupture » républicaine où finalement les extrême-droites se positionnent comme soutenir un débat politique, il fallait réagir rapidement afin d’aller dans un contexte où le pouvoir pouvait retomber dans les mains comme ce fut le cas en 1940. Voyant la réalité d’une France comme c’est le cas dans d’autres pays : la marche en avant rappelle également que nous vivons sous une menace constante d’un coup d’état de l’armée et de la police. Ces derniers souhaitent en terminer avec la séparation des pouvoirs, la démocratie libérale et finalement la République.
Nous croyons foncièrement dans la République. Être républicain en 2022 s’avère reposé sur un véritable parcours du combattant puisque lesdits « républicains » ne sont pas toujours ceux qui se revendiquent comme tel. Dès lors, cela nous interroge dans le fond à savoir l’idée même que nous nous en faisons de la République. Il y a à partir de ce moment précis, une volonté de créer un véritable schisme entre ceux qui se revendiquent, mais qu’ils ne le sont pas et ceux qui ne revendiquent rien, mais qui sont républicains. De ce fait, cela n’est pas le cas de ceux qui se disent « républicains » en période électorale et se retrouve objectivement à soutenir des thèses antirépublicaines durant l’ensemble des mandats. Dans ce sens, nous soutenons qu’aucune négociation ne sera faite avec les néoconservateurs, les néolaïcs et toute autres idées clairement réactionnaires. En effet, les enrobages de certaines personnalités avides d’ailleurs de cyberharcèlement en disent long sur les opposants à leurs idées. La République et le progrès ne reposent à aucun moment sur le rejet de l’autre, car la « fraternité » est une valeur constitutionnelle.
Le gouvernement a voulu renforcer les lois sur le volet migratoire afin de capter l’électorat de l’extrême-droite. De ce fait, l’idée d’un « barrage républicain » ne servait strictement à rien. La politique des idées de l’extrême-droite se mettait en avant progressivement. Certains ont été horrifiés d’un tel acharnement, des théories diverses et variées promouvant le complotisme au sein des gouvernements successifs. Nous avons alors admis que la France n’était pas une terre de haine, mais une terre républicaine. À partir de ce moment précis, le barrage républicain a permis de recycler l’eau de l’extrême-droite pour promouvoir toujours plus ce courant hostile à la démocratie, la République et les travailleurs.
Considérant qu’au travers de ces éléments et au vu de l’état de la démocratie des pays membres en Europe sous couvert de populisme et de souverainisme national, l’idée s’inscrit nécessairement dans un autre paradigme. Nous sommes en faveur d’un changement radical de paradigme. Dans ce sens, nous avons compris également que la bataille s’inscrivait dans une démarche profondément « gramsciste ». La culture apparaît comme la « mère des batailles ». Il fallait créer un espace « safe » pour de nombreuses personnes afin qu’elles puissent s’y retrouver sans être pris dans le terrain des discriminations constantes et de toute nature. Cet espace s’avère être Radio Progrès.