Un retour sur les ondes
Dans certains projets, il semble nécessaire de prendre de la hauteur. Cela peut paraître anecdotique, mais nous avons fait pas mal de travaux sur notre projet afin de diffuser des émissions nécessaires au sein d’un cadre associatif. La principale problématique dans laquelle nous étions confrontés depuis le début s’avérait être le manque de place afin de pouvoir installer un studio de webradio. Cela peut paraître anecdotique. En effet, l’ancien espace était devenu trop exigu et l’apparence devenait compliquée pour réaliser des émissions dans un espace adéquat.
Ainsi, nous sommes passés d’une banlieue où le “temps” apparaissait comme une contrainte, mais un espace où le temps s’arrête. La reprise du projet radiophonique dans un autre endroit géographique permet de structurer également un changement d’approche. En effet, la banlieue parisienne est gérée par une personne homophobe, réactionnaire et surtout adepte de la théorie néonazie du “grand remplacement”. Dès lors, loin sans faute, il apparaissait que la région allait craquer et de disloquer à la vitesse de la gestion calamiteuse de cette dernière. Dans ce sens, partir apparaît comme une alternative sérieuse, réfléchie et mûrie. Nous avons constaté l’effondrement de la région parisienne et cela n’est qu’un début. Pourquoi continuer à émettre des émissions dans une collectivité territoriale qui est vouée à la faillite ? Les choses sont posées.
Nous pensons également que l’avenir ne se situe pas dans un monde “ultracentralisé” tel qu’il est conçu au travers des différents pouvoirs à Paris, de l’activité économique, et même les différents éléments culturels. De cette manière, le déménagement concrétise des espoirs afin d’améliorer ce que nous avons fait ces derniers temps. Nous pensons qu’une approche (non pas rurale), mais de province change la donne, modifie les lignes et finalement permettra de corriger les différentes erreurs sur le long terme.
Au moment où nous avons déménagé, la question de l’espace s’est également posée, notamment au travers des différents plans pour poser l’ensemble du matériel. En effet, produire du contenu pour une webradio ou tout autre élément audiovisuel nécessite un environnement adéquat. Nous pensons que nous avions trouvé un certain équilibre afin de poursuivre notre ligne première : la diffusion du progrès au travers d’une webradio, c’est-à-dire un médium en pleine évolution. Si le nombre de webradio croît progressivement et c’est un bon signe pour le monde culturel dans une période où la “crise de la culture” pour paraphraser atteint son apogée actuellement.
Nous espérons un jour pouvoir diffuser en DAB+ (équivalent de la TNT, mais pour les radios). Même si nous n’en sommes pas à cet ordre, les idées pourrait vite arriver dans le futur au travers d’un développement conséquent de la webradio. De cette manière, nous le savons malgré la mise en sommeil durant quelques mois, les projets ont continué d’être travaillés dans la forme comme dans le fond.
La remise en marche de notre webradio permet également de se poser des questions nécessaires pour la poursuite du projet afin d’accroître de vrais auditeurs. Il semble constant qu’au travers de cette démarche, nous espérons donner le meilleur de nous-même à la lumière du studio modulaire que nous sommes en train de mettre en avant.
Ainsi, nous sommes passés d’une banlieue où le “temps” apparaissait comme une contrainte, mais un espace où le temps s’arrête. La reprise du projet radiophonique dans un autre endroit géographique permet de structurer également un changement d’approche. En effet, la banlieue parisienne est gérée par une personne homophobe, réactionnaire et surtout adepte de la théorie néonazie du “grand remplacement”. Dès lors, loin sans faute, il apparaissait que la région allait craquer et de disloquer à la vitesse de la gestion calamiteuse de cette dernière. Dans ce sens, partir apparaît comme une alternative sérieuse, réfléchie et mûrie. Nous avons constaté l’effondrement de la région parisienne et cela n’est qu’un début. Pourquoi continuer à émettre des émissions dans une collectivité territoriale qui est vouée à la faillite ? Les choses sont posées.
Nous pensons également que l’avenir ne se situe pas dans un monde “ultracentralisé” tel qu’il est conçu au travers des différents pouvoirs à Paris, de l’activité économique, et même les différents éléments culturels. De cette manière, le déménagement concrétise des espoirs afin d’améliorer ce que nous avons fait ces derniers temps. Nous pensons qu’une approche (non pas rurale), mais de province change la donne, modifie les lignes et finalement permettra de corriger les différentes erreurs sur le long terme.
Au moment où nous avons déménagé, la question de l’espace s’est également posée, notamment au travers des différents plans pour poser l’ensemble du matériel. En effet, produire du contenu pour une webradio ou tout autre élément audiovisuel nécessite un environnement adéquat. Nous pensons que nous avions trouvé un certain équilibre afin de poursuivre notre ligne première : la diffusion du progrès au travers d’une webradio, c’est-à-dire un médium en pleine évolution. Si le nombre de webradio croît progressivement et c’est un bon signe pour le monde culturel dans une période où la “crise de la culture” pour paraphraser atteint son apogée actuellement.
Nous espérons un jour pouvoir diffuser en DAB+ (équivalent de la TNT, mais pour les radios). Même si nous n’en sommes pas à cet ordre, les idées pourrait vite arriver dans le futur au travers d’un développement conséquent de la webradio. De cette manière, nous le savons malgré la mise en sommeil durant quelques mois, les projets ont continué d’être travaillés dans la forme comme dans le fond.
La remise en marche de notre webradio permet également de se poser des questions nécessaires pour la poursuite du projet afin d’accroître de vrais auditeurs. Il semble constant qu’au travers de cette démarche, nous espérons donner le meilleur de nous-même à la lumière du studio modulaire que nous sommes en train de mettre en avant.