Un duplex pour l'actualité
Le duplex avec Isekai-Online
Sur notre antenne, nous réalisons un « Duplex » avec Isekai-Online le vendredi et samedi soir afin d’être dans l’ambiance très « Isekai-Disco ». Nous avons compris également que le « progrès » pouvait être également d’accompagner musicalement pouvait s’avérer être « progressiste ». Le choix des morceaux n’est jamais anodin, le choix de la critique sur ces derniers également tout comme la réception des critiques par les auditeurs. Nous pensons qu’on a les auditeurs qu’on mérite.
Nous recevons également de nombreuses demandes de diffusion au travers de la « promotion » en ce qu’il concerne les morceaux/artistes ou des événements spontanés. Conscient que nous avons fait plusieurs choix : pas de publicités et une approche musicale sous les différentes licences Creative Commons (ou Domaine Public). Une approche par des groupes de travail aura lieu ces prochains jours sur ce sujet. Les solutions de demain relèvent d’une approche radicalement différente de celles d’hier. Le streaming audio est arrivé par là via des plateformes comme Spotify ou Deezer pour les plus connus. Les CD’s se vendent de moins en moins et le Vinyle fait son grand retour. De ce fait, nous sommes convaincus à terme de l’idée d’une généralisation des différentes licences que nous souhaitons diffuser ou de l’approche au travers d’une structure permettant les partenariats.
Nous pensons et voulons être un hub et un tunnel afin d’y diffuser les différents artistes et groupes qui conviendraient à notre ligne éditoriale, artistique et éthique. En effet, nous ambitionnons de nous séparer entièrement des licences très onéreuses. Nous avons choisi une voix différente afin de faire vivre un projet novateur et nécessaire là où l’ignorance abonde de façon chronique et crescendo. Nous reviendrons également dans plusieurs semaines et plusieurs concernant ce projet.
Dans un monde où la neutralité n’existe pas. L’aseptisation linguistique enlève toute subjectivité d’une idée. Celle-ci réside dans la suppression même de l’opinion de la personne qui l’écrit, le dit ou le prononce. L’objectivité absolue reste comme un cerbère ou une hydre. Elle est un fantasme et repose dans une approche mytho-logique. Dès lors, nous affirmons que les libertés individuelles viennent également de la « liberté éditoriale » impliquant une approche subjective et objective. Toutefois, il ne s’agit pas d’une position tel le chat de Schrödinger.
Quelques idées sur la question actuelle
Le progrès ce n’est pas le matraquage des opposants, le progrès ce n’est pas le retour des voltigeurs (sous le nom de BRAV-M), le progrès ce n’est pas l’envoi de grenade militaire sur des opposants, le progrès ce n’est rien de tout cela. La position s’enracine dans une volonté de soumission comme une emprise d’une personne sur une autre. Nous sommes la liberté, et nous nous soumettrons à personne, la peur a changé de camp. Ainsi, le progrès s’avère l’inverse. Le maintien de l’ordre public issu d’une doctrine en lien avec la guerre d’Algérie a vécu, mais s’est exporté dans le monde. À Téhéran, c’est la doctrine de Didier Lallement (remplacé par Laurent Nuñez) qui fait figure de référence. Les assassins de Malik Oussekine le savent, les progressistes feront tout pour dissoudre les organisations proches des idées du Pétainiste Eric Zemmour.
Dans ces périodes compliquées et où les idées peuvent convexes, complexes, nous rappelons que notre radio est une « ZAD » à savoir une « Zone Anti-Darmanin » (en raison des événements à Sainte-Soline en particulier et ceux plus largement depuis six ans). Nous refusons d’être caractérisés par des personnes qui croient plus dans son « boucher » que sur les différentes questions de son ministère que les statistiques de l’INSEE. Dès lors, il assume pleinement ses propos : il refuse la science, les données et la contradiction. Il peut parler de « terrorisme intellectuel » comme Jean-Marie Le Pen et l’ensemble de l’extrême-droite, mais cela appuie toujours plus sur la trumpisation à marches forcées de l’électorat d’Emmanuel Macron vers Eric Zemmour ou Marine Le Pen. Le front républicain a également sauté quand des néo-socialistes jusqu’à Le Pen, le slogan réside dans une volonté farouche afin de plébisciter les néoconservateurs déconnectés de la réalité et adeptes des pires thèses économiques comme éthiques. Gérald Darmanin est un terroriste intellectuel selon sa définition et celle de ses compagnons de route…
Nous nous posons régulièrement la question paraphrasant Hannah Arendt : Qu’est-ce que le politique ? Loin d’avoir lu l’ensemble de son œuvre, le lissage des idées au travers du « politiquement correct » renferme drastiquement une idée de Zeev Sternhell via son ouvrage Ni droite, ni gauche. Au travers de ce questionnement, il semble convaincant que nous sommes un caillou dans un engrenage, nous bloquons la machine et son fonctionnement. La politique s’avère durer sur le temps long, nous pensons uniquement à l’approche par Gramsci de la praxis. Défaire les milliardaires, voilà un joli programme sur nos ondes par la culture, la musique, etc.
Sur notre antenne, nous réalisons un « Duplex » avec Isekai-Online le vendredi et samedi soir afin d’être dans l’ambiance très « Isekai-Disco ». Nous avons compris également que le « progrès » pouvait être également d’accompagner musicalement pouvait s’avérer être « progressiste ». Le choix des morceaux n’est jamais anodin, le choix de la critique sur ces derniers également tout comme la réception des critiques par les auditeurs. Nous pensons qu’on a les auditeurs qu’on mérite.
Nous recevons également de nombreuses demandes de diffusion au travers de la « promotion » en ce qu’il concerne les morceaux/artistes ou des événements spontanés. Conscient que nous avons fait plusieurs choix : pas de publicités et une approche musicale sous les différentes licences Creative Commons (ou Domaine Public). Une approche par des groupes de travail aura lieu ces prochains jours sur ce sujet. Les solutions de demain relèvent d’une approche radicalement différente de celles d’hier. Le streaming audio est arrivé par là via des plateformes comme Spotify ou Deezer pour les plus connus. Les CD’s se vendent de moins en moins et le Vinyle fait son grand retour. De ce fait, nous sommes convaincus à terme de l’idée d’une généralisation des différentes licences que nous souhaitons diffuser ou de l’approche au travers d’une structure permettant les partenariats.
Nous pensons et voulons être un hub et un tunnel afin d’y diffuser les différents artistes et groupes qui conviendraient à notre ligne éditoriale, artistique et éthique. En effet, nous ambitionnons de nous séparer entièrement des licences très onéreuses. Nous avons choisi une voix différente afin de faire vivre un projet novateur et nécessaire là où l’ignorance abonde de façon chronique et crescendo. Nous reviendrons également dans plusieurs semaines et plusieurs concernant ce projet.
Dans un monde où la neutralité n’existe pas. L’aseptisation linguistique enlève toute subjectivité d’une idée. Celle-ci réside dans la suppression même de l’opinion de la personne qui l’écrit, le dit ou le prononce. L’objectivité absolue reste comme un cerbère ou une hydre. Elle est un fantasme et repose dans une approche mytho-logique. Dès lors, nous affirmons que les libertés individuelles viennent également de la « liberté éditoriale » impliquant une approche subjective et objective. Toutefois, il ne s’agit pas d’une position tel le chat de Schrödinger.
Quelques idées sur la question actuelle
Le progrès ce n’est pas le matraquage des opposants, le progrès ce n’est pas le retour des voltigeurs (sous le nom de BRAV-M), le progrès ce n’est pas l’envoi de grenade militaire sur des opposants, le progrès ce n’est rien de tout cela. La position s’enracine dans une volonté de soumission comme une emprise d’une personne sur une autre. Nous sommes la liberté, et nous nous soumettrons à personne, la peur a changé de camp. Ainsi, le progrès s’avère l’inverse. Le maintien de l’ordre public issu d’une doctrine en lien avec la guerre d’Algérie a vécu, mais s’est exporté dans le monde. À Téhéran, c’est la doctrine de Didier Lallement (remplacé par Laurent Nuñez) qui fait figure de référence. Les assassins de Malik Oussekine le savent, les progressistes feront tout pour dissoudre les organisations proches des idées du Pétainiste Eric Zemmour.
Dans ces périodes compliquées et où les idées peuvent convexes, complexes, nous rappelons que notre radio est une « ZAD » à savoir une « Zone Anti-Darmanin » (en raison des événements à Sainte-Soline en particulier et ceux plus largement depuis six ans). Nous refusons d’être caractérisés par des personnes qui croient plus dans son « boucher » que sur les différentes questions de son ministère que les statistiques de l’INSEE. Dès lors, il assume pleinement ses propos : il refuse la science, les données et la contradiction. Il peut parler de « terrorisme intellectuel » comme Jean-Marie Le Pen et l’ensemble de l’extrême-droite, mais cela appuie toujours plus sur la trumpisation à marches forcées de l’électorat d’Emmanuel Macron vers Eric Zemmour ou Marine Le Pen. Le front républicain a également sauté quand des néo-socialistes jusqu’à Le Pen, le slogan réside dans une volonté farouche afin de plébisciter les néoconservateurs déconnectés de la réalité et adeptes des pires thèses économiques comme éthiques. Gérald Darmanin est un terroriste intellectuel selon sa définition et celle de ses compagnons de route…
Nous nous posons régulièrement la question paraphrasant Hannah Arendt : Qu’est-ce que le politique ? Loin d’avoir lu l’ensemble de son œuvre, le lissage des idées au travers du « politiquement correct » renferme drastiquement une idée de Zeev Sternhell via son ouvrage Ni droite, ni gauche. Au travers de ce questionnement, il semble convaincant que nous sommes un caillou dans un engrenage, nous bloquons la machine et son fonctionnement. La politique s’avère durer sur le temps long, nous pensons uniquement à l’approche par Gramsci de la praxis. Défaire les milliardaires, voilà un joli programme sur nos ondes par la culture, la musique, etc.