Un nouveau départ pour un nouveau studio
Un changement de paradigme important se déroule sous nos yeux, nous mettons tout en place pour tenter de déménager notre studio musical suite à de gros soucis avec la propriétaire. Cette dernière constitue une réelle problématique pour la stabilité de notre webradio, mais aussi des vies individuelles de chaque personne résidant dans le lieu où se trouve le studio radiophonique. Dans les faits, nous sommes confrontés à un bras de fer assez important résultant d'une dégradation des conditions de nos émissions notamment le direct. Nos partenaires d'Isekai-Online savent très bien la situation dans laquelle nous sommes. Entre la fin de l'hiver denier et le printemps, nous avons eu de nombreux soucis qui nous ont obligé dans les conditions les plus extrêmes à fermer nos différents lives.
Nous pensons également que la problématique des émissions nocturnes nous mettant dans une grande insécurité s'étant estompée, il n'en demeure pas moins qu'au cours des derniers mois, nous avions compris que si notre projet a démarré dans l'agglomération parisienne (Maisons-Laffitte), il se poursuit à ce jour dans le quartier des Sablons dans la ville du Mans. Cette ville offre un cadre de vie assez incroyable y compris dans les quartiers populaires. De cette façon, nous allons rester dans la ville du Mans peu importe ce qu'il se passera. La situation s'avère assez complexe, nous n'avons pas besoin de tension supplémentaire.
Pendant des mois, nous avons subi un réel harcèlement avec la troisième personne avec laquelle nous vivons sans que cela ne dérange la propriétaire. En effet, ce dernier est resté assez longtemps grâce à la collaboration avec Mme Sheinel Ellis alors qu'il ne payait pas ses loyers. Les sommeils devenant compliqués, il nous a empêchés de dormir pendant des mois. Elle était au courant et ne faisait rien. De cette manière, nous savons très bien qu'elle a tenté une médiation, mais entre le bourreau et la victime : aucune conversation n'est possible. Elle voulait simplement que son compte bancaire augmente de façon significative. Aussi, la personne a sombré dans un alcoolisme sévère. Plus rien n'était possible et la vie devenait invivable, mais son porte-monnaie allait bien, donc elle préférait qu'on vive un enfer.
Entre le mois de juin et de juillet, nous avons eu un terrible dégât des eaux s'étendant sur six inondations. Nous avons été coupés d'eau froide au moment où il faisait près de 30 °C pendant 16 jours malgré les avertissements. Mme Ellis méprisant les lois fondamentales et le droit à un logement digne s'est empressée de reporter la faute sur notre encontre. La troisième personne avait piscine dans le dégât des eaux. Nous avons fait des démarches auprès de notre assurance. Ces derniers ont été horripilés, ils ont pris en charge les frais pour remettre l'eau. Mais les assureurs ont clairement souligné que nous étions face à une "propriétaire-voyou". En effet, le dégât des eaux venait de ses tuyaux, c'est à elle de le faire. Or, des mois passent et elle n'a toujours rien fait. Cela pose presque la question si elle a une assurance. On ne pourra hypothéquer dessus, mais des doutes subsistent.
La personne est partie dans des conditions rocambolesques au mépris de la loi. Dans un premier temps, nous n'avons rien dit, car nous avons pensé à notre intérêt. Pour autant, nous expliquons sciemment que ce qu'elle a fait contre cette personne, elle peut le reproduire contre n'importe quelle autre personne. Au moment où la propriétaire est partie avec l'ancienne personne suite à cette "expulsion clandestine", nous avons volontairement changé les canons. Nous étions préparé à des conditions difficiles. La personne expulsée manu militari a essayé de rentrer pendant deux à trois semaines dans un moment précis où nous faisions une externalisation de notre studio. De cette manière, il possédait un double des clefs et nous avons bien fait cela, au risque que la situation s'envenime davantage. Au moment où la personne a récupéré ses affaires deux à trois semaines plus tard, le sbire nommé Charles est rentré dans notre appartement sans nous demander notre autorisation et nous avertir au préalable. De cette façon, il a récupéré temporairement les canons changés.
Mme Ellis gérant son bien de façon illégale, c'est-à-dire mêlant des locations saisonnières et les locations longues durées s'est empressé de tenter de faire son business. Dans le cadre d'un Airbnb, nous avons laissé effectivement deux nuits à ces "inconnus". Puis nous nous sommes empressés de garder les clefs afin de faire enfin respecter la loi. Or, la propriétaire qui gérait son bien de façon illégale comme une libertarienne d'extrême-droite a commencé les différentes menaces et le cyberharcèlement, dont nous sommes victimes. Or, ce n'est pas parce qu'elle a des charges et des impôts qu'elle dispose de tous les droits. Au contraire, il existe des lois, et il faut les respecter.
Le droit des contrats s'appliquant et notamment dans le cadre d'un bail, les menaces et les actions de Mme Ellis (dont la résidence se situe à Saint-Herblain près de Nantes) tendent à démontrer sa mauvaise foi dans le cadre de l'exécution de ce dernier. De cette manière, il convient de souligner que nous saisirons tous les moyens légaux pour arriver à l'exécution entière du contrat. Cela paraît anormal d'en arriver à ce point-là, car nous sommes dans une approche de bon sens. De cette manière, la discontinuité des émissions va s'enraciner dans un futur endroit après de nombreux déboires juridiques. Pourtant, la force est de constater que nous sommes dans une perte de temps, d'argent et surtout d'une problématique de fond d'un "marchand de sommeil". Lorsque les personnes ont tort et son dans l'illégalité dans le cadre du "droit au logement" ou du "droit des baux (commerciaux)", la moindre des choses se résume à se taire et à appliquer la loi de "bon sens".
Pourtant, les problèmes avec Mme Ellis remontent de très loin. Nous sommes entrés le 02 novembre 2022 dans l'appartement, nous avons rendu les clefs de l'appartement à Maisons-Laffitte en fin novembre. En mai 2023, elle voulait changer la problématique afin de réaliser de la location saisonnière au travers de l'entreprise Airbnb. Le courrier que nous avions reçu avait quasiment deux mois de retard. Dans ces conditions, aucune explication valable ne peut pas intervenir. D'autant plus qu'elle pensait que le régime des locations meublées était d'un mois alors que le bail décrivait explicitement trois mois tout comme la loi de 1989. Dans ces conditions, tout éait indiqué sur la question temporelle. Ensuite, le bail et la même loi indique les conditions dérogatoires. Elle ne les remplit à aucun moment. De ce fait, le bail se poursuit. Nonobstant ces deux éléments, elle continue de réaliser une certaine pression. D'autant que l'article qu'elle cite dans le présent courrier contre-dit ce qu'elle indique et la menace de poursuite judiciaire.
Nous avons répondu au travers de ces arguments à la propriétaire. Au moment de la réception du courrier par A/R, le vrai visage se montrait sous quelques mots : "Vous êtes de sale personne… je n’ai jamais rencontré de gens comme vous". Force est de constater que nous n'avons pas cherché l'embrouille, nous n'avons pas provoqué l'injure, la calomnie, ni même la diffamation. Dans ce sens, le message a été reçu notamment sur un lieu de travail (afin de financer la webradio et le projet derrière). Ainsi, une main courante a été déposée auprès du commissariat après refus des fonctionnaires de police de saisir une plainte (une chose qui est illégale, mais très légion).
Nous avons à nouveau un problème concernant des tuyaux. Elle s'est empressée de vouloir venir, mais c'était pour récupérer les clefs et réaliser une expulsion sauvage. Ainsi, elle préfère son logement à l'entretien de son logement afin d'y réaliser des locations saisonnières alors qu'elle n'est même pas déclarée auprès du syndicat de copropriété Citya.
Ainsi, nous en sommes arrivés à saisir un juriste et probablement un avocat. Dans ce sens, si nous avons régulièrement beaucoup de doutes en termes d'application de la loi, nous sommes dans nos droits, nous pensons aussi que nous allons devoir changer de logement pour notre bien et celui de la webradio, car à l'heure actuelle, les moyens que nous disposons ne nous permettent pas de louer (avec des personnes sérieuses ou des agences) des locaux commerciaux.
Dans ces conditions, nous allons nous orienter vers un nouveau départ dans les mois qui vont suivre. Ironiquement, nous savons très bien que nous n'avons jamais eu de problèmes avec qui ce soit. Nous voulons simplement une webradio, un lieu pour pouvoir émettre, payer des loyers dans les règles de l'art et surtout avoir une réelle tranquillité au travers de l'exécution du bail, c'est-à-dire du contrat.
Nous pensons également que la problématique des émissions nocturnes nous mettant dans une grande insécurité s'étant estompée, il n'en demeure pas moins qu'au cours des derniers mois, nous avions compris que si notre projet a démarré dans l'agglomération parisienne (Maisons-Laffitte), il se poursuit à ce jour dans le quartier des Sablons dans la ville du Mans. Cette ville offre un cadre de vie assez incroyable y compris dans les quartiers populaires. De cette façon, nous allons rester dans la ville du Mans peu importe ce qu'il se passera. La situation s'avère assez complexe, nous n'avons pas besoin de tension supplémentaire.
Pendant des mois, nous avons subi un réel harcèlement avec la troisième personne avec laquelle nous vivons sans que cela ne dérange la propriétaire. En effet, ce dernier est resté assez longtemps grâce à la collaboration avec Mme Sheinel Ellis alors qu'il ne payait pas ses loyers. Les sommeils devenant compliqués, il nous a empêchés de dormir pendant des mois. Elle était au courant et ne faisait rien. De cette manière, nous savons très bien qu'elle a tenté une médiation, mais entre le bourreau et la victime : aucune conversation n'est possible. Elle voulait simplement que son compte bancaire augmente de façon significative. Aussi, la personne a sombré dans un alcoolisme sévère. Plus rien n'était possible et la vie devenait invivable, mais son porte-monnaie allait bien, donc elle préférait qu'on vive un enfer.
Entre le mois de juin et de juillet, nous avons eu un terrible dégât des eaux s'étendant sur six inondations. Nous avons été coupés d'eau froide au moment où il faisait près de 30 °C pendant 16 jours malgré les avertissements. Mme Ellis méprisant les lois fondamentales et le droit à un logement digne s'est empressée de reporter la faute sur notre encontre. La troisième personne avait piscine dans le dégât des eaux. Nous avons fait des démarches auprès de notre assurance. Ces derniers ont été horripilés, ils ont pris en charge les frais pour remettre l'eau. Mais les assureurs ont clairement souligné que nous étions face à une "propriétaire-voyou". En effet, le dégât des eaux venait de ses tuyaux, c'est à elle de le faire. Or, des mois passent et elle n'a toujours rien fait. Cela pose presque la question si elle a une assurance. On ne pourra hypothéquer dessus, mais des doutes subsistent.
La personne est partie dans des conditions rocambolesques au mépris de la loi. Dans un premier temps, nous n'avons rien dit, car nous avons pensé à notre intérêt. Pour autant, nous expliquons sciemment que ce qu'elle a fait contre cette personne, elle peut le reproduire contre n'importe quelle autre personne. Au moment où la propriétaire est partie avec l'ancienne personne suite à cette "expulsion clandestine", nous avons volontairement changé les canons. Nous étions préparé à des conditions difficiles. La personne expulsée manu militari a essayé de rentrer pendant deux à trois semaines dans un moment précis où nous faisions une externalisation de notre studio. De cette manière, il possédait un double des clefs et nous avons bien fait cela, au risque que la situation s'envenime davantage. Au moment où la personne a récupéré ses affaires deux à trois semaines plus tard, le sbire nommé Charles est rentré dans notre appartement sans nous demander notre autorisation et nous avertir au préalable. De cette façon, il a récupéré temporairement les canons changés.
Mme Ellis gérant son bien de façon illégale, c'est-à-dire mêlant des locations saisonnières et les locations longues durées s'est empressé de tenter de faire son business. Dans le cadre d'un Airbnb, nous avons laissé effectivement deux nuits à ces "inconnus". Puis nous nous sommes empressés de garder les clefs afin de faire enfin respecter la loi. Or, la propriétaire qui gérait son bien de façon illégale comme une libertarienne d'extrême-droite a commencé les différentes menaces et le cyberharcèlement, dont nous sommes victimes. Or, ce n'est pas parce qu'elle a des charges et des impôts qu'elle dispose de tous les droits. Au contraire, il existe des lois, et il faut les respecter.
Le droit des contrats s'appliquant et notamment dans le cadre d'un bail, les menaces et les actions de Mme Ellis (dont la résidence se situe à Saint-Herblain près de Nantes) tendent à démontrer sa mauvaise foi dans le cadre de l'exécution de ce dernier. De cette manière, il convient de souligner que nous saisirons tous les moyens légaux pour arriver à l'exécution entière du contrat. Cela paraît anormal d'en arriver à ce point-là, car nous sommes dans une approche de bon sens. De cette manière, la discontinuité des émissions va s'enraciner dans un futur endroit après de nombreux déboires juridiques. Pourtant, la force est de constater que nous sommes dans une perte de temps, d'argent et surtout d'une problématique de fond d'un "marchand de sommeil". Lorsque les personnes ont tort et son dans l'illégalité dans le cadre du "droit au logement" ou du "droit des baux (commerciaux)", la moindre des choses se résume à se taire et à appliquer la loi de "bon sens".
Pourtant, les problèmes avec Mme Ellis remontent de très loin. Nous sommes entrés le 02 novembre 2022 dans l'appartement, nous avons rendu les clefs de l'appartement à Maisons-Laffitte en fin novembre. En mai 2023, elle voulait changer la problématique afin de réaliser de la location saisonnière au travers de l'entreprise Airbnb. Le courrier que nous avions reçu avait quasiment deux mois de retard. Dans ces conditions, aucune explication valable ne peut pas intervenir. D'autant plus qu'elle pensait que le régime des locations meublées était d'un mois alors que le bail décrivait explicitement trois mois tout comme la loi de 1989. Dans ces conditions, tout éait indiqué sur la question temporelle. Ensuite, le bail et la même loi indique les conditions dérogatoires. Elle ne les remplit à aucun moment. De ce fait, le bail se poursuit. Nonobstant ces deux éléments, elle continue de réaliser une certaine pression. D'autant que l'article qu'elle cite dans le présent courrier contre-dit ce qu'elle indique et la menace de poursuite judiciaire.
Nous avons répondu au travers de ces arguments à la propriétaire. Au moment de la réception du courrier par A/R, le vrai visage se montrait sous quelques mots : "Vous êtes de sale personne… je n’ai jamais rencontré de gens comme vous". Force est de constater que nous n'avons pas cherché l'embrouille, nous n'avons pas provoqué l'injure, la calomnie, ni même la diffamation. Dans ce sens, le message a été reçu notamment sur un lieu de travail (afin de financer la webradio et le projet derrière). Ainsi, une main courante a été déposée auprès du commissariat après refus des fonctionnaires de police de saisir une plainte (une chose qui est illégale, mais très légion).
Nous avons à nouveau un problème concernant des tuyaux. Elle s'est empressée de vouloir venir, mais c'était pour récupérer les clefs et réaliser une expulsion sauvage. Ainsi, elle préfère son logement à l'entretien de son logement afin d'y réaliser des locations saisonnières alors qu'elle n'est même pas déclarée auprès du syndicat de copropriété Citya.
Ainsi, nous en sommes arrivés à saisir un juriste et probablement un avocat. Dans ce sens, si nous avons régulièrement beaucoup de doutes en termes d'application de la loi, nous sommes dans nos droits, nous pensons aussi que nous allons devoir changer de logement pour notre bien et celui de la webradio, car à l'heure actuelle, les moyens que nous disposons ne nous permettent pas de louer (avec des personnes sérieuses ou des agences) des locaux commerciaux.
Dans ces conditions, nous allons nous orienter vers un nouveau départ dans les mois qui vont suivre. Ironiquement, nous savons très bien que nous n'avons jamais eu de problèmes avec qui ce soit. Nous voulons simplement une webradio, un lieu pour pouvoir émettre, payer des loyers dans les règles de l'art et surtout avoir une réelle tranquillité au travers de l'exécution du bail, c'est-à-dire du contrat.